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Le dioxyde de carbone réduirait nos fonctions cognitives

Publié le 13 Juin 2019

Informations

Vidéo publiée par Tom Scott

Kurtis Baute s'est enfermé dans un Biodôme fait maison pour nous expliquer que certaines de nos habitudes sont assez dangereuses. Le surplus dans l'air que l'on respire de Co2 réduirait notre capacité de réflexion.

Il nous indique qu'il y a 60 ans, le Co2 dans l'atmosphère était autour des 300 parts par million (ppm), de nos jours, suite à l'industrialisation et les échappements de pétrole, nous en serions à 400 ppm dans les zones naturelles. Dans les zones urbaines, se serait autour des 500 ppm.

Sachant aussi que la plupart des gens passent la majorité de leur temps à l'intérieur, parfois mal ventilé, on peut atteindre les 1000 pm. Une étude a été réalisée dans un environnement à 1000 ppm et en a conclu qu'il y aurait une baisse de 15% des capacités cognitives.

Dans des écoles du Texas, Idaho et Washington, ils ont découvert que dans au moins 15% des classes le niveau de Co2 était au-delà des 1000 ppm.
Ils ont confirmé aussi qu'à 1400 ppm les fonctions cognitives avaient chuté de 15%.

À 2000 ppm, les effets secondaires sont :

- Nausée
- Perte d'attention
- Mal de tête
- Somnolence
- Perte de concentration
- Accélération du rythme cardiaque

Voici le lien vers cette étude

Le taux de Co2 dans les chambres et les voitures atteint fréquemment les 4 000 ppm, il est aussi courant que les casques de moto vous enferment dans un environnement étroit de 10 000 ppm.

Le niveau mortel est de 40 000 ppm. Kurtis Baute estime qu'à la fin du siècle le niveau minimum serait à 695 ppm, ce qui implique que de façon globale, nous aurions perdu de 10 à 16% de nos fonctions cognitives en tant qu'espèce.

Pour conclure, il nous invite à ouvrir la fenêtre et toujours faire en sorte d'aérer votre espace de vie.

Tags
dioxode de carbone
fonction cognitive
étude scientifique
niveau de co2
atmosphère
Kurtis Baute
Nausée
Perte d'attention
Mal de tête
Somnolence
Perte de concentration
Accélération du rythme cardiaque
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A propos de l'auteur

Le dioxyde de carbone réduirait nos fonctions cognitives

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Kurtis Baute s'est enfermé dans un Biodôme fait maison pour nous expliquer que certaines de nos habitudes sont assez dangereuses. Le surplus dans l'air que l'on respire de Co2 réduirait notre capacité de réflexion.

Il nous indique qu'il y a 60 ans, le Co2 dans l'atmosphère était autour des 300 parts par million (ppm), de nos jours, suite à l'industrialisation et les échappements de pétrole, nous en serions à 400 ppm dans les zones naturelles. Dans les zones urbaines, se serait autour des 500 ppm.

Sachant aussi que la plupart des gens passent la majorité de leur temps à l'intérieur, parfois mal ventilé, on peut atteindre les 1000 pm. Une étude a été réalisée dans un environnement à 1000 ppm et en a conclu qu'il y aurait une baisse de 15% des capacités cognitives.

Dans des écoles du Texas, Idaho et Washington, ils ont découvert que dans au moins 15% des classes le niveau de Co2 était au-delà des 1000 ppm.
Ils ont confirmé aussi qu'à 1400 ppm les fonctions cognitives avaient chuté de 15%.

À 2000 ppm, les effets secondaires sont :

- Nausée
- Perte d'attention
- Mal de tête
- Somnolence
- Perte de concentration
- Accélération du rythme cardiaque

Voici le lien vers cette étude

Le taux de Co2 dans les chambres et les voitures atteint fréquemment les 4 000 ppm, il est aussi courant que les casques de moto vous enferment dans un environnement étroit de 10 000 ppm.

Le niveau mortel est de 40 000 ppm. Kurtis Baute estime qu'à la fin du siècle le niveau minimum serait à 695 ppm, ce qui implique que de façon globale, nous aurions perdu de 10 à 16% de nos fonctions cognitives en tant qu'espèce.

Pour conclure, il nous invite à ouvrir la fenêtre et toujours faire en sorte d'aérer votre espace de vie.

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Le dioxyde de carbone réduirait nos fonctions cognitives

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Kurtis Baute s'est enfermé dans un Biodôme fait maison pour nous expliquer que certaines de nos habitudes sont assez dangereuses. Le surplus dans l'air que l'on respire de Co2 réduirait notre capacité de réflexion.

Il nous indique qu'il y a 60 ans, le Co2 dans l'atmosphère était autour des 300 parts par million (ppm), de nos jours, suite à l'industrialisation et les échappements de pétrole, nous en serions à 400 ppm dans les zones naturelles. Dans les zones urbaines, se serait autour des 500 ppm.

Sachant aussi que la plupart des gens passent la majorité de leur temps à l'intérieur, parfois mal ventilé, on peut atteindre les 1000 pm. Une étude a été réalisée dans un environnement à 1000 ppm et en a conclu qu'il y aurait une baisse de 15% des capacités cognitives.

Dans des écoles du Texas, Idaho et Washington, ils ont découvert que dans au moins 15% des classes le niveau de Co2 était au-delà des 1000 ppm.
Ils ont confirmé aussi qu'à 1400 ppm les fonctions cognitives avaient chuté de 15%.

À 2000 ppm, les effets secondaires sont :

- Nausée
- Perte d'attention
- Mal de tête
- Somnolence
- Perte de concentration
- Accélération du rythme cardiaque

Voici le lien vers cette étude

Le taux de Co2 dans les chambres et les voitures atteint fréquemment les 4 000 ppm, il est aussi courant que les casques de moto vous enferment dans un environnement étroit de 10 000 ppm.

Le niveau mortel est de 40 000 ppm. Kurtis Baute estime qu'à la fin du siècle le niveau minimum serait à 695 ppm, ce qui implique que de façon globale, nous aurions perdu de 10 à 16% de nos fonctions cognitives en tant qu'espèce.

Pour conclure, il nous invite à ouvrir la fenêtre et toujours faire en sorte d'aérer votre espace de vie.

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