
Donner une chance à ces jeunes exilés, c’est aussi se donner une chance collectivement
Je suis profondément choquée que la présence de 40 jeunes exilés, qu’ils soient mineurs ou majeurs, puisse susciter autant de débats négatifs à Marseille. On les présente comme un problème, alors qu’en réalité, c’est une véritable opportunité.
Ces jeunes ne viennent pas pour créer des troubles, mais bien pour chercher un avenir, se former, apprendre, et surtout, travailler.
Dans un pays qui peine à recruter dans de nombreux secteurs, leur présence devrait être perçue comme une aubaine.
Il suffit de regarder autour de nous pour constater combien il est difficile de trouver de la main-d’œuvre dans des domaines essentiels comme le BTP, le nettoyage, l’aide à domicile, la voirie, l’hôtellerie-restauration, ou encore les services hospitaliers. Ces secteurs souffrent d’un manque cruel de personnel motivé. Et pourtant, nous avons là des jeunes qui, en dépit d’un parcours souvent semé d’épreuves, sont encore debout, déterminés à s’en sortir, avec une envie sincère de s’intégrer et de contribuer.
Au lieu de pointer du doigt leur présence, pourquoi ne pas organiser des passerelles entre eux et les entrepreneurs locaux ? De nombreuses entreprises peinent à recruter et seraient probablement ravies de rencontrer ces jeunes débordants d’énergie et de bonne volonté. Au-delà du travail manuel, certains ont peut-être des talents insoupçonnés dans la musique, le sport, les mathématiques, l’art ou encore l’agriculture. Ne méritent-ils pas qu’on leur offre un espace pour exprimer ce qu’ils savent faire, et pour apprendre ce qu’ils ne savent pas encore ?
Ces jeunes ont traversé des épreuves que peu d’entre nous auraient la force d’endurer. Ils ont survécu à l’exil, à l’incertitude, parfois à la violence. Et malgré cela, ils sont encore là, debout, avec le désir de s’en sortir. Cela s’appelle de la persévérance, du courage, de la "niaque". Ne serait-il pas temps de transformer notre regard, et de comprendre que leur force de caractère peut devenir une richesse pour notre société ? Donnons-leur une chance, et nous verrons qu’ils peuvent devenir bien plus qu’une "main d’œuvre" : des citoyens à part entière, porteurs d’espoir et d’avenir.

Donner une chance à ces jeunes exilés, c’est aussi se donner une chance collectivement
Je suis profondément choquée que la présence de 40 jeunes exilés, qu’ils soient mineurs ou majeurs, puisse susciter autant de débats négatifs à Marseille. On les présente comme un problème, alors qu’en réalité, c’est une véritable opportunité.
Ces jeunes ne viennent pas pour créer des troubles, mais bien pour chercher un avenir, se former, apprendre, et surtout, travailler.
Dans un pays qui peine à recruter dans de nombreux secteurs, leur présence devrait être perçue comme une aubaine.
Il suffit de regarder autour de nous pour constater combien il est difficile de trouver de la main-d’œuvre dans des domaines essentiels comme le BTP, le nettoyage, l’aide à domicile, la voirie, l’hôtellerie-restauration, ou encore les services hospitaliers. Ces secteurs souffrent d’un manque cruel de personnel motivé. Et pourtant, nous avons là des jeunes qui, en dépit d’un parcours souvent semé d’épreuves, sont encore debout, déterminés à s’en sortir, avec une envie sincère de s’intégrer et de contribuer.
Au lieu de pointer du doigt leur présence, pourquoi ne pas organiser des passerelles entre eux et les entrepreneurs locaux ? De nombreuses entreprises peinent à recruter et seraient probablement ravies de rencontrer ces jeunes débordants d’énergie et de bonne volonté. Au-delà du travail manuel, certains ont peut-être des talents insoupçonnés dans la musique, le sport, les mathématiques, l’art ou encore l’agriculture. Ne méritent-ils pas qu’on leur offre un espace pour exprimer ce qu’ils savent faire, et pour apprendre ce qu’ils ne savent pas encore ?
Ces jeunes ont traversé des épreuves que peu d’entre nous auraient la force d’endurer. Ils ont survécu à l’exil, à l’incertitude, parfois à la violence. Et malgré cela, ils sont encore là, debout, avec le désir de s’en sortir. Cela s’appelle de la persévérance, du courage, de la "niaque". Ne serait-il pas temps de transformer notre regard, et de comprendre que leur force de caractère peut devenir une richesse pour notre société ? Donnons-leur une chance, et nous verrons qu’ils peuvent devenir bien plus qu’une "main d’œuvre" : des citoyens à part entière, porteurs d’espoir et d’avenir.

Donner une chance à ces jeunes exilés, c’est aussi se donner une chance collectivement
Je suis profondément choquée que la présence de 40 jeunes exilés, qu’ils soient mineurs ou majeurs, puisse susciter autant de débats négatifs à Marseille. On les présente comme un problème, alors qu’en réalité, c’est une véritable opportunité.
Ces jeunes ne viennent pas pour créer des troubles, mais bien pour chercher un avenir, se former, apprendre, et surtout, travailler.
Dans un pays qui peine à recruter dans de nombreux secteurs, leur présence devrait être perçue comme une aubaine.
Il suffit de regarder autour de nous pour constater combien il est difficile de trouver de la main-d’œuvre dans des domaines essentiels comme le BTP, le nettoyage, l’aide à domicile, la voirie, l’hôtellerie-restauration, ou encore les services hospitaliers. Ces secteurs souffrent d’un manque cruel de personnel motivé. Et pourtant, nous avons là des jeunes qui, en dépit d’un parcours souvent semé d’épreuves, sont encore debout, déterminés à s’en sortir, avec une envie sincère de s’intégrer et de contribuer.
Au lieu de pointer du doigt leur présence, pourquoi ne pas organiser des passerelles entre eux et les entrepreneurs locaux ? De nombreuses entreprises peinent à recruter et seraient probablement ravies de rencontrer ces jeunes débordants d’énergie et de bonne volonté. Au-delà du travail manuel, certains ont peut-être des talents insoupçonnés dans la musique, le sport, les mathématiques, l’art ou encore l’agriculture. Ne méritent-ils pas qu’on leur offre un espace pour exprimer ce qu’ils savent faire, et pour apprendre ce qu’ils ne savent pas encore ?
Ces jeunes ont traversé des épreuves que peu d’entre nous auraient la force d’endurer. Ils ont survécu à l’exil, à l’incertitude, parfois à la violence. Et malgré cela, ils sont encore là, debout, avec le désir de s’en sortir. Cela s’appelle de la persévérance, du courage, de la "niaque". Ne serait-il pas temps de transformer notre regard, et de comprendre que leur force de caractère peut devenir une richesse pour notre société ? Donnons-leur une chance, et nous verrons qu’ils peuvent devenir bien plus qu’une "main d’œuvre" : des citoyens à part entière, porteurs d’espoir et d’avenir.