
Trop, c’est trop : stop aux privilèges injustifiés
Depuis des années, on demande à ceux qui ont le moins de faire toujours plus d'efforts. On parle d’austérité, de réduction des dépenses, de serrer la ceinture… mais ces efforts semblent ne concerner qu'une seule partie de la population : les citoyens aux revenus modestes. Pendant ce temps, des personnalités politiques, notamment d’anciens présidents de la République, continuent de bénéficier d’avantages démesurés alors même qu’ils ne sont plus en poste. Voiture avec chauffeur, logement de fonction, bureaux, secrétariat, protection rapprochée… tout cela payé par l’argent public. Pourquoi continuer à entretenir un statut qui n’a plus lieu d’être ? Une fois leur mandat terminé, qu’ils retournent à la vie active, comme tout le monde, sans traitement de faveur.
Le scandale ne s’arrête pas là. À l’Assemblée nationale, trop de députés sont absents, silencieux, voire endormis pendant les séances. Pourtant, leur salaire ne tombe jamais en retard, et leurs indemnités non plus. Où est la logique ? Dans n’importe quel métier, une telle attitude serait synonyme de sanction, voire de licenciement. Mais dans le monde politique, il semble que l’exigence de résultat n’existe pas. Il est temps de revoir ce modèle. Un mandat électif est une responsabilité, pas une rente. Les élus doivent rendre des comptes, être présents, actifs, et engagés. Faute de quoi, leur rémunération devrait être remise en question.
On parle aussi de ces « retraites dorées » et des « parachutes » versés à certains responsables publics. Des sommes astronomiques sont versées à des personnes qui quittent leurs fonctions avec des conditions de départ dignes de grands patrons, alors que la majorité des Français doivent se contenter d’une pension bien en dessous de leurs besoins réels. Ce deux poids, deux mesures est insupportable. Il alimente un sentiment d’injustice généralisé, un découragement profond face à un système qui semble ne jamais jouer équitablement.
Enfin, il faut poser la question de tous ces avantages dits "de fonction" : voitures, logements, cartes de crédit, voyages… Ces privilèges devraient être strictement encadrés, voire supprimés, car ils ne répondent plus à une nécessité professionnelle réelle. Un travail mérite un salaire, un seul, juste et transparent. Rien de plus. Comme un salarié au SMIC qui, chaque jour, donne de son temps et de son énergie pour faire vivre le pays, sans aucune reconnaissance excessive, sans privilège.
Il est grand temps de repenser notre rapport aux élus, aux anciens responsables, et à tous ceux qui bénéficient d’un système devenu déconnecté des réalités. L’exemplarité doit revenir au cœur de l’engagement public. C’est une exigence de justice, de cohérence, et surtout de respect envers tous ceux qui vivent avec peu, mais donnent beaucoup.

Trop, c’est trop : stop aux privilèges injustifiés
Depuis des années, on demande à ceux qui ont le moins de faire toujours plus d'efforts. On parle d’austérité, de réduction des dépenses, de serrer la ceinture… mais ces efforts semblent ne concerner qu'une seule partie de la population : les citoyens aux revenus modestes. Pendant ce temps, des personnalités politiques, notamment d’anciens présidents de la République, continuent de bénéficier d’avantages démesurés alors même qu’ils ne sont plus en poste. Voiture avec chauffeur, logement de fonction, bureaux, secrétariat, protection rapprochée… tout cela payé par l’argent public. Pourquoi continuer à entretenir un statut qui n’a plus lieu d’être ? Une fois leur mandat terminé, qu’ils retournent à la vie active, comme tout le monde, sans traitement de faveur.
Le scandale ne s’arrête pas là. À l’Assemblée nationale, trop de députés sont absents, silencieux, voire endormis pendant les séances. Pourtant, leur salaire ne tombe jamais en retard, et leurs indemnités non plus. Où est la logique ? Dans n’importe quel métier, une telle attitude serait synonyme de sanction, voire de licenciement. Mais dans le monde politique, il semble que l’exigence de résultat n’existe pas. Il est temps de revoir ce modèle. Un mandat électif est une responsabilité, pas une rente. Les élus doivent rendre des comptes, être présents, actifs, et engagés. Faute de quoi, leur rémunération devrait être remise en question.
On parle aussi de ces « retraites dorées » et des « parachutes » versés à certains responsables publics. Des sommes astronomiques sont versées à des personnes qui quittent leurs fonctions avec des conditions de départ dignes de grands patrons, alors que la majorité des Français doivent se contenter d’une pension bien en dessous de leurs besoins réels. Ce deux poids, deux mesures est insupportable. Il alimente un sentiment d’injustice généralisé, un découragement profond face à un système qui semble ne jamais jouer équitablement.
Enfin, il faut poser la question de tous ces avantages dits "de fonction" : voitures, logements, cartes de crédit, voyages… Ces privilèges devraient être strictement encadrés, voire supprimés, car ils ne répondent plus à une nécessité professionnelle réelle. Un travail mérite un salaire, un seul, juste et transparent. Rien de plus. Comme un salarié au SMIC qui, chaque jour, donne de son temps et de son énergie pour faire vivre le pays, sans aucune reconnaissance excessive, sans privilège.
Il est grand temps de repenser notre rapport aux élus, aux anciens responsables, et à tous ceux qui bénéficient d’un système devenu déconnecté des réalités. L’exemplarité doit revenir au cœur de l’engagement public. C’est une exigence de justice, de cohérence, et surtout de respect envers tous ceux qui vivent avec peu, mais donnent beaucoup.

Trop, c’est trop : stop aux privilèges injustifiés
Depuis des années, on demande à ceux qui ont le moins de faire toujours plus d'efforts. On parle d’austérité, de réduction des dépenses, de serrer la ceinture… mais ces efforts semblent ne concerner qu'une seule partie de la population : les citoyens aux revenus modestes. Pendant ce temps, des personnalités politiques, notamment d’anciens présidents de la République, continuent de bénéficier d’avantages démesurés alors même qu’ils ne sont plus en poste. Voiture avec chauffeur, logement de fonction, bureaux, secrétariat, protection rapprochée… tout cela payé par l’argent public. Pourquoi continuer à entretenir un statut qui n’a plus lieu d’être ? Une fois leur mandat terminé, qu’ils retournent à la vie active, comme tout le monde, sans traitement de faveur.
Le scandale ne s’arrête pas là. À l’Assemblée nationale, trop de députés sont absents, silencieux, voire endormis pendant les séances. Pourtant, leur salaire ne tombe jamais en retard, et leurs indemnités non plus. Où est la logique ? Dans n’importe quel métier, une telle attitude serait synonyme de sanction, voire de licenciement. Mais dans le monde politique, il semble que l’exigence de résultat n’existe pas. Il est temps de revoir ce modèle. Un mandat électif est une responsabilité, pas une rente. Les élus doivent rendre des comptes, être présents, actifs, et engagés. Faute de quoi, leur rémunération devrait être remise en question.
On parle aussi de ces « retraites dorées » et des « parachutes » versés à certains responsables publics. Des sommes astronomiques sont versées à des personnes qui quittent leurs fonctions avec des conditions de départ dignes de grands patrons, alors que la majorité des Français doivent se contenter d’une pension bien en dessous de leurs besoins réels. Ce deux poids, deux mesures est insupportable. Il alimente un sentiment d’injustice généralisé, un découragement profond face à un système qui semble ne jamais jouer équitablement.
Enfin, il faut poser la question de tous ces avantages dits "de fonction" : voitures, logements, cartes de crédit, voyages… Ces privilèges devraient être strictement encadrés, voire supprimés, car ils ne répondent plus à une nécessité professionnelle réelle. Un travail mérite un salaire, un seul, juste et transparent. Rien de plus. Comme un salarié au SMIC qui, chaque jour, donne de son temps et de son énergie pour faire vivre le pays, sans aucune reconnaissance excessive, sans privilège.
Il est grand temps de repenser notre rapport aux élus, aux anciens responsables, et à tous ceux qui bénéficient d’un système devenu déconnecté des réalités. L’exemplarité doit revenir au cœur de l’engagement public. C’est une exigence de justice, de cohérence, et surtout de respect envers tous ceux qui vivent avec peu, mais donnent beaucoup.