Lettre ouverte au Ministre de l’Éducation nationale
Monsieur le Ministre,
Je me permets de vous adresser cette lettre en tant que grand-mère inquiète pour l’avenir de ma petite-fille, actuellement en terminale et passant son baccalauréat cette année.
Comme tant d’autres jeunes, elle a suivi le parcours scolaire avec sérieux, avec l’espoir légitime de poursuivre ses études dans un IUT proche de chez elle. Elle habite Fontenay-aux-Roses et avait formulé un vœu pour l’IUT de Sceaux, un choix cohérent, raisonnable et motivé. Malheureusement, elle a essuyé un refus, non seulement de cet établissement, mais aussi des autres IUT auxquels elle avait postulé.
Aujourd’hui, elle n’a plus que Vitry-sur-Seine en liste d’attente, sans aucune garantie d’avoir une place. Comme elle, de nombreux jeunes se retrouvent sans solution concrète, après avoir pourtant rempli toutes les conditions, travaillé dur et placé leurs espoirs dans le système éducatif français.
Je vous pose donc cette question simple mais cruciale : que fait-on de tous ces enfants après le bac ? Pourquoi les pousser à réussir, à se projeter, à faire des choix d’orientation, si au bout du compte, aucune place ne leur est attribuée ?
Le nombre de places en IUT est notoirement insuffisant face à la demande croissante, et cette injustice pèse lourdement sur des familles entières. L’enseignement supérieur ne devrait pas être un parcours d’obstacles pour des jeunes déjà soumis à tant de pression.
J’estime que cette situation est profondément injuste et, à mes yeux, scandaleuse. J’espère sincèrement que ce témoignage fera réagir et permettra, à terme, une prise de conscience politique à la hauteur de l’enjeu.
Dans l’attente d’une réforme structurelle et équitable de l’accès aux formations post-bac, je vous remercie de l’attention que vous voudrez bien porter à cette lettre.
Christine Langerak
Lettre ouverte au Ministre de l’Éducation nationale
Monsieur le Ministre,
Je me permets de vous adresser cette lettre en tant que grand-mère inquiète pour l’avenir de ma petite-fille, actuellement en terminale et passant son baccalauréat cette année.
Comme tant d’autres jeunes, elle a suivi le parcours scolaire avec sérieux, avec l’espoir légitime de poursuivre ses études dans un IUT proche de chez elle. Elle habite Fontenay-aux-Roses et avait formulé un vœu pour l’IUT de Sceaux, un choix cohérent, raisonnable et motivé. Malheureusement, elle a essuyé un refus, non seulement de cet établissement, mais aussi des autres IUT auxquels elle avait postulé.
Aujourd’hui, elle n’a plus que Vitry-sur-Seine en liste d’attente, sans aucune garantie d’avoir une place. Comme elle, de nombreux jeunes se retrouvent sans solution concrète, après avoir pourtant rempli toutes les conditions, travaillé dur et placé leurs espoirs dans le système éducatif français.
Je vous pose donc cette question simple mais cruciale : que fait-on de tous ces enfants après le bac ? Pourquoi les pousser à réussir, à se projeter, à faire des choix d’orientation, si au bout du compte, aucune place ne leur est attribuée ?
Le nombre de places en IUT est notoirement insuffisant face à la demande croissante, et cette injustice pèse lourdement sur des familles entières. L’enseignement supérieur ne devrait pas être un parcours d’obstacles pour des jeunes déjà soumis à tant de pression.
J’estime que cette situation est profondément injuste et, à mes yeux, scandaleuse. J’espère sincèrement que ce témoignage fera réagir et permettra, à terme, une prise de conscience politique à la hauteur de l’enjeu.
Dans l’attente d’une réforme structurelle et équitable de l’accès aux formations post-bac, je vous remercie de l’attention que vous voudrez bien porter à cette lettre.
Christine Langerak
Lettre ouverte au Ministre de l’Éducation nationale
Monsieur le Ministre,
Je me permets de vous adresser cette lettre en tant que grand-mère inquiète pour l’avenir de ma petite-fille, actuellement en terminale et passant son baccalauréat cette année.
Comme tant d’autres jeunes, elle a suivi le parcours scolaire avec sérieux, avec l’espoir légitime de poursuivre ses études dans un IUT proche de chez elle. Elle habite Fontenay-aux-Roses et avait formulé un vœu pour l’IUT de Sceaux, un choix cohérent, raisonnable et motivé. Malheureusement, elle a essuyé un refus, non seulement de cet établissement, mais aussi des autres IUT auxquels elle avait postulé.
Aujourd’hui, elle n’a plus que Vitry-sur-Seine en liste d’attente, sans aucune garantie d’avoir une place. Comme elle, de nombreux jeunes se retrouvent sans solution concrète, après avoir pourtant rempli toutes les conditions, travaillé dur et placé leurs espoirs dans le système éducatif français.
Je vous pose donc cette question simple mais cruciale : que fait-on de tous ces enfants après le bac ? Pourquoi les pousser à réussir, à se projeter, à faire des choix d’orientation, si au bout du compte, aucune place ne leur est attribuée ?
Le nombre de places en IUT est notoirement insuffisant face à la demande croissante, et cette injustice pèse lourdement sur des familles entières. L’enseignement supérieur ne devrait pas être un parcours d’obstacles pour des jeunes déjà soumis à tant de pression.
J’estime que cette situation est profondément injuste et, à mes yeux, scandaleuse. J’espère sincèrement que ce témoignage fera réagir et permettra, à terme, une prise de conscience politique à la hauteur de l’enjeu.
Dans l’attente d’une réforme structurelle et équitable de l’accès aux formations post-bac, je vous remercie de l’attention que vous voudrez bien porter à cette lettre.
Christine Langerak